Axel Invité
| Sujet: L'enemi public n°1 Dim 19 Aoû 2007 - 12:47 | |
| Salut, De retour, j'ai hâte de vous parler d'un film que je vais aller voir ... L'histoire est celle de Jacques Mesrine. qui se tourne à Paris en ce moment... Vincent Cassel et Ludivine Sagnier interprètent Mesrine pour l'un et sa compagne pour l'autre... Mesrine tombera sous les balles des policiers le 2 novembre 1979 dans le 18ème arr de Paris... Un film à voir selon moi. Ames sensibles s'abstenir... Petit rappel (source citée http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Mesrine) 28 décembre 1936, Clichy - 2 novembre 1979, Paris. Gangster français ayant revendiqué une trentaine d'assassinats, il a été surnommé « l'homme aux 100 visages ». Déclaré « ennemi public numéro un » au début des années 1970, il est notamment connu pour des braquages médiatisés et ses évasions.
Fils de commerçants, c'est à Clichy (au 5 de l'avenue Anatole France) qu'il grandit et qu'il se met à fréquenter les quartiers populaires de la capitale. Pendant la guerre en Algérie, il est amené, à ses yeux, à se comporter aussi cruellement avec le peuple colonisé que les soldats allemands l'avaient fait avec ses parents quand il était enfant. Il tue sous l'ordre de la République. Il en gardera une haine contre la société qui ne le quittera plus.
Il participe à de nombreux cambriolages dès l'âge de 23 ans. Il se marie et part travailler au Canada au service d'un milliardaire qu'il enlève en 1969. Il y assassine froidement deux gardes chasse. Arrêté, il s'évade de prison et retourne en France où il commet de nombreuses attaques à main armée. Il est arrêté par le commissaire Robert Broussard une première fois en 1973, à son appartement rue Vergniaud dans le 13e arrondissement de Paris. Cette arrestation restera célèbre puisque le truand ouvrit la porte aux policiers (après de longues heures de négociations à travers la porte) et offrit le champagne au commissaire (Mesrine à Broussard : « Tu ne trouves pas que c'est une arrestation qui a de la gueule ? »).
Son incarcération aux quartiers de haute sécurité de la prison de la Santé est à l'origine d'un combat qu'il entend mener afin de les faire supprimer (décrivant les conditions de détention dégradantes et inhumaines). Par ce combat il contribua à rendre publique une réalité qui était jusqu'alors inconnue. Il parvient néanmoins à s'en évader le 8 mai 1978, accompagné de François Besse et de Carman Rives (ce dernier sera abattu par la ronde). Les conditions de son évasion restent à ce jour non élucidées. Il braque le casino de Deauville peu de temps après avec son compagnon de cavale, François Besse. Le braquage tourne mal mais les deux évadés parviennent à s'enfuir. Il continue les braquages (comme celui de la Société générale de Drancy) tandis que la police reste impuissante à le localiser. Mesrine nargue les autorités en donnant des entretiens à des journalistes. Le 21 juin 1978, il enlève le milliardaire Henri Lelièvre et obtient une rançon de 6 millions de francs. Sa notoriété entraîne une guerre des polices entre Lucien Aimé-Blanc chef de l'OCRB et Robert Broussard chef de l'antigang, pour l'arrêter. Le 10 novembre 1978, il essaie d'enlever le juge Petit, qui l'avait condamné à 20 ans de prison en 1977 : c'est un échec, mais il parvient néanmoins à s'enfuir.
En septembre 1979, Mesrine tend un guet-apens au journaliste de Minute, Jacques Tillier, le torture, le blesse grièvement par balles en lui tirant dans la joue et le laisse pour mort. En effet, celui-ci l'avait diffamé en racontant que Mesrine n'était pas une personne "réglo" avec ses associés. Le commissaire Broussard finit par repérer l'appartement du truand rue Belliard, dans le 18e arrondissement de Paris, fin octobre 1979. Au volant de sa voiture BMW, il est encerclé par Broussard et ses hommes de la Brigade de recherche et d'intervention le 2 novembre 1979, Porte de Clignancourt. Un camion bâché qui s'était immiscé devant son véhicule dissimulait des tireurs, qui ouvrirent le feu sur lui et sa compagne. On trouvera dix-neuf impacts de balles dans son corps. Il est tué en possession de grenades et d'armes de poing. Sa compagne grièvement blessée perd un œil dans la fusillade. Sa mort est un premier cas de remise en cause de la légitime défense vis-à-vis de la police, qui aurait ouvert le feu sans sommations. Le 6 octobre 2006, la Cour de cassation française a déclaré irrecevable le pourvoi en cassation de la famille Mesrine suite au non-lieu prononcé le 1er décembre 2005 par la chambre d'instruction de la cour d'appel de Paris. Il est enterré au cimetière Nord de Clichy, la ville qui le vit naître. |
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olislan Soyez cool! j'suis nouveau/nouvelle
Nombre de messages : 49 Age : 50 Localisation : Liège Emploi : Etudiant Date d'inscription : 01/08/2007
| Sujet: Re: L'enemi public n°1 Dim 19 Aoû 2007 - 21:46 | |
| SAlut à toi Axel....Cursus invraissemblable en effet....Et vu que j'adore V.Cassel....Cela ne pourra qu'être d'un réalisme sans faille...En espérant que ce ne soit pas tyrop romancé....Pour ce qui est de son destin, il aura mérité ce guet apen.....Il a tué : impardonnable. | |
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Lyna Admin
Nombre de messages : 894 Age : 58 Localisation : 06160 Juan les pins Date d'inscription : 11/03/2007
| Sujet: Merci Lun 20 Aoû 2007 - 11:47 | |
| Bonjour tout le monde, Axel pour ce post Je pense que j'irai voir ce film à sa sortie, j'aime Vincent Cassel et Ludivine Sagnier Et retrouver l'histoire de cet ennemi public n°1... Bonne journée | |
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| Sujet: Re: L'enemi public n°1 | |
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